CRITIQUE DU LIVRE ANIBAL publié le 20/02/2010  - mis à jour le 02/06/2010

Le livre est intéressant et très émouvant, il m’a appris que même si on a un petit frère ou une petite sœur qui n’est pas de notre sang, il faut l’aimer.

Ce que j’ai aimé c’est que Sweetie a accepté son frère et ne voulait pas en être séparé car il devra, à la fin de l’été, partir en pension à Nice. Ce qui ma gêné c’est quand il a frappé son père en lui disant des grossièretés car il avait cassé un de ses pots de fleurs. Sweetie adore les fleurs voilà pourquoi il s’est énervé quand son père a cassé le vase avec ses fleurs.

Les sentiments que j’éprouve pour certains personnages est de la gentillesse et que je comprends leurs sentiments. Et pour d’autres, comme le père de Sweetie, je n’éprouve aucune sympathie.

Le vocabulaire est celui de notre âge car il y a des mots que nous utilisons parfois. Les descriptions sont très bien et faciles à imaginer. Les phrases sont ni trop courtes, ni trop longues. Ce livre était facile à lire.

Voici un extrait de passage qui ma plu :
« Avec l’angoisse, je m’était pas rendu compte, mais en trois minutes j’avais dessiné un vrai jardin, plein de couleurs, et qui tenait presque sur tout un tableau. »

Athénais Fiquet (6e3)

BRAGANCE, Anne. Anibal, Pocket, 1998, (Pocket junior)