Les Terminales CAP EVS en « Panique Olympique » ! publié le 29/09/2019

Après deux jours de répétition, les 19 et 20 septembre et une répétition générale sur le site le 27 après-midi, c’est en public dans la rue Hugo qu’ils ont joué le samedi 28 la chorégraphie imaginée par la Cie Volubilis et dirigée par Agnès Pelletier, « Panique olympique », intitulée ainsi car la troupe compte bien la faire danser un peu partout jusqu’aux jeux Olympiques de Paris de 2024. « Le concept va s’exporter dans toute la Nouvelle-Aquitaine » … « Notre idée est de créer une communauté de danseurs pour porter ce spectacle jusqu’aux JO. » Avec, comme ligne de mire, le Trocadéro en 2024.
C’est la troisième fois que des classes de CAP participent au festival (en 2015 et 2017) Conçu pour être interprété dans les rues piétonnes, et donc au milieu les badauds, « Panique olympique » porte le thème de la consommation, symbolisée par les sacs de papier kraft avec lesquels joue chaque danseur durant les dix-sept minutes rythmées en cinq tableaux, sur une musique de Yann Servoz.
Monsieur Lassalle leur professeur d’EPS et Mme Sargeni, professeure de français ont encadré (et participé !) le projet financé par l’établissement. Une autre façon d’apprendre, de s’engager individuellement dans un projet collectif, de répondre à des exigences artistiques. Leur participation à « Panique Olympique » s’inscrit dans un projet plus large mené depuis deux ans « Chut, écoute et regarde » initié par Mme Gestin (qui est venue danser avec la classe ce samedi !) et Mme Sargeni et qui permet aux élèves de T CAP EVS d’être les spectateurs actifs de 5 à 6 spectacles par an proposés par la scène nationale du Moulin du ROC. A l’occasion de ce festival Panique au dancing, les élèves ont pu le samedi après-midi assister à 4 spectacles de danse contemporaine. Félicitations à Anaïs, Anastasia, Cassandra, Florine, Grégory, Océanne, Ojianie, Matthias et Tatiana pour leur engagement sur la durée et pour leur prestation sur scène vendredi et samedi après-midi ! Et remerciements à Elisabeth et Ludivine d’être venues les encourager.

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