
On a du pot(s)! publié le 11/10/2024
Nous ne sommes pas des empotés
Nous venons de mettre en pot notre récolte : un peu moins de 19kg. Ce n’est pas grand chose mais nous sommes tout de même très contents, surtout que les abeilles en ont, elles, beaucoup plus : environ 25kg pour chaque ruche. C’est un bon deal !
En contenant de 250g, ça en fait quand même pas mal : 75 pots en tout. C’est du travail, mais pas trop désagréable, surtout quand qu’il s’agit de "nettoyer"...

Maïwenn, Jérémy et Mathéo s’occupent de la mise en pot et de la pesée tandis que Samuel a pour tâche de fermer les pots

Samuel semble attentif à ce que Jérémy n’en profite pas trop !

Mathéo satisfait du travail accompli, Maïwenn satisfaite de "nettoyer" le maturateur
La prochaine étape : l’étiquette. Ce sont d’autres élèves qui vont s’occuper de la dessiner. Ensuite, à l’impression, au collage et des pots fin prêts pour....
... le marché de Noël
Et oui, la quasi totalité du miel sera en priorité disponible pour les élèves et leur famille. Nous le proposerons à la vente le jour du marché de Noël de l’EREA pour la somme de 3euros le pot de 250g. S’il en reste quelques uns, alors les personnels de l’EREA pourront aussi en acheter.
En attendant nous en avons distribué dans notre établissement : six pots pour le self (nous pourrons en avoir au petit déjeuner ou dans un plat cuisiné par l’équipe du self), un ou deux par dortoir (pour sucrer nos infusions du soir), deux en cuisine pédagogique pour la réalisation de recettes lors des activités pédagogique et éducative et enfin deux pour les cuisines du lycée professionnel.

Jérémy, Angélo et Tillian apportent à Stéphane, le chef, quelques pots pour le self

Le chef valide !
Les Avengers de l’EREA
Nous profitons de cet article pour remercier Jean-Yves et Jérémy qui sont venus au secours de nos abeilles qui étaient attaquées par de très nombreux frelons asiatiques. La pression était très importante et leur survie menacée.
Ils ont alors construit des harpes électriques qui protègent maintenant les ruches. Associées aux pièges en bouteille, le résultat est très satisfaisant. Les frelons sont moins nombreux et les abeilles moins stressées.

Jérémy et Jean-Yves sont devenus les bêtes noires des frelons des environs