Mobilité des 3e LCE en Pologne publié le 23/05/2025
Dans le cadre de leur projet Erasmus "Together to Remember" sur le devoir de mémoire, nos élèves de 3e LCE s’étaient rendus en Allemagne en février et avaient reçu leurs correspondants en mars en allant notamment visiter Oradour. Début mai, ils se sont rendus en Pologne :

L’école de leurs correspondants se situait dans la petite ville de Wolbrom où ils ont été très bien accueillis, avec des danses traditionnelles.

Il se sont ensuite mis au travail et, pour le repas, ils ont pu faire une première expérience culinaire polonaise, pour le moins original, en goûtant des ravioles fourrés d’un fromage de type Babybel et recouverts de confiture.


Le mardi, nos élèves ont visité les camps d’Auschwitz-Birkenau, lieux de massacres devenus lieux de mémoire.





Le mercredi était plus détendu étant donné que les élèves ont pratiqué de nombreuses activités pédagogiques, ludiques et sportives.




Le jeudi matin était consacrée à la découverte des pays et cultures de toutes les nationalités présentes lors de cette semaine Erasmus : Pologne, Espagne, Italie, Lituanie et France. Nos élèves ont ainsi présenté leurs travaux (qu’ils avaient réalisé la veille, de manière rapide et efficace !) :

S’en est suivi la cérémonie de remise des diplômes et les photos de groupes.



Après un petit retour à l’hôtel pour mettre les tenues de soirée, c’était enfin l’heure de la "Goodbye Party" lors de laquelle nos élèves se sont ambiancés sur la danse des canards version polonaise et sur quelques grands classiques de la musique française tels que "Bande organisée" de Jul et "Ramenez la coupe à la maison" de Vegedream.


Le vendredi constituait la dernière grosse journée du Projet avec la visite du musée de l’usine d’Oscar Schindler, puis du centre-ville de Cracovie.



Nous espérons que ce projet Erasmus "Together to Remember", avec ces temps forts tels que les visites d’Oradour et d’Auschwitz, aura permis aux élèves de mesurer l’importance du devoir de mémoire, à la fois pour se souvenir des victimes, mais aussi pour prévenir les erreurs du passé en devenant, à leur tour, des passeurs de mémoire.
