Heureux de partager leur expérience publié le 08/12/2014

Depuis septembre de nombreux « anciens » de STMG sont revenus spontanément pour rencontrer les élèves de 1ère. Envie de transmettre leur expérience après quelques années ou de délivrer leurs premières impressions en post-bac. Ceci nous permet de faire un peu le point sur la diversité des parcours après une STMG.

Pour les jeunes diplômés, donc à Bac + quelques mois…

Isoline a choisi de faire un DCG (diplôme de comptabilité gestion) en apprentissage, elle a donc intégré la maison de la formation à Poitiers et est apprentie à la mairie de Poitiers. Le statut d’apprentie est séduisant : expérience professionnelle, rémunération, indépendance, mais attention il demande aussi une autonomie et une responsabilisation dans le travail, car en plus de son activité professionnelle, Isoline prépare aussi un diplôme.
Marty lui est ravi d’avoir intégré le DUT Gestion des Entreprises et des Administrations de Niort, il y retrouve des matières familières puisque déjà abordées en STMG (économie, droit, management, gestion) et ne se sent donc pas perdu. La fiscalité est ardue mais il a confiance dans le travail fourni.
Chloé a rejoint le DUT Techniques de Commercialisation d’Angers, où elle découvre les techniques commerciales mais aussi des matières de bases comme la gestion. Elle assure que cette dernière matière lui est très profitable cette année.

D’autres élèves ont choisi de s’orienter vers un BTS Comptabilité Gestion des Organisations, un BTS Négociations Relations Clientèle, un BTS Management des Unités Commerciales, un BTS Services Informatiques aux Organisations ou encore une licence droit et techniques de l’Assurance.

Pour les étudiants ayant déjà effectué une première année :

Perle a opté pour le DUT Tech de Co de Tours par apprentissage. Elle est donc en parallèle salariée de l’entreprise Orange et étudiante. Elle apprécie pleinement cette formation qui lui permet d’avoir un contact direct avec la clientèle. Elle a découvert certaines matières nouvelles comme la mercatique mais a trouvé pleinement sa place et envisage sa deuxième année sereinement. Elle envisage ensuite de poursuite dans une licence de commercialisation lié à la production viticole.
Lucille avait choisi le DUT GEA de Tours, elle a retrouvé beaucoup de gestion qu’elle affectionnait en terminale. « Il y a du travail mais il ne faut pas avoir peur pour autant, il faut bien être organisé, et tout se passe bien ».

Et puis, il y a « les anciens » qui ont maintenant de « belles situations » comme on dit :

Jérémy, qui a fait un DUT GEA à Poitiers, puis une licence professionnelle Banque sur Tours et qui maintenant est conseiller financier à la Banque Populaire. Sa formation en DUT GEA lui a beaucoup plu, les matières étaient intéressantes et en rapport avec la terminale, donc sans surprise. Le niveau de travail est exigeant mais quelle que soit la formation, les exigences deviennent de plus en plus importantes avec la poursuite des études.
Amélie, elle aussi avait choisi de faire un DUT GEA à Poitiers, elle a ensuite poursuivi dans une licence d’administration publique à l’IAE de Poitiers et est aujourd’hui salariée dans un cabinet comptable sur Poitiers. Elle a toujours aimé la gestion et s’épanouit pleinement dans le cabinet comptable qui l’emploie. Les tâches sont variées, il y a de la gestion mais aussi du droit, car il faut conseiller les entrepreneurs en droit du travail par exemple. C’est un métier varié où il y a beaucoup de contacts clientèle et des possibilités d’évolution professionnelle. Elle envisage de poursuivre ses études en parallèle pour passer le Diplôme de Comptabilité et Gestion.