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Atelier "écrire ma chanson" publié le 27/04/2014  - mis à jour le 05/05/2014

Pages : 123

Poèmes

Ce n’était qu’un début
La première fois que je l’ai vu
Mon cœur se mit à palpiter
Comme dans mes rêves sacrés.

Il est beau et souriant
Comme un prince charmant
Je pensais à lui jour et nuit
Sans avoir un sentiment d’ennui.

Marie.
Poèmes (OpenDocument Text de 10 ko)

Lucie.

Soudain, il est venu
Lui, l’amour de sa vie
Il l’avait aperçue
Ell’ s’appelait Lucie.

Ils s’étaient rencontrés
A l’occasion d’l’été
Ell’ l’avait remarqué
Le temps d’une soirée.

C’était son amour de l’été
Ell’ s’appelait Lucie, Lucie, Lucie
Lucie avec un I et un grand E (bis)
Lucie, Lucie, Lucie.

Ils s’étaient embrassés
Sous le soleil embrasé
Lui c’était son amant
Depuis tell’ment longtemps.

Allongé dans le noir
Le coeur tout plein d’espoir
Il l’a toujours aimée
Lucie ! Sa bien-aimée !

C’était son amour de l’été
Ell’ s’appelait Lucie, Lucie, Lucie
Lucie avec un I et un grand E (bis)
Lucie, Lucie, Lucie.

Ils s’étaient installés
Un peu après l’été
Lui avait un enfant
Qui est devenu grand.

Il demanda sa main
Par un très grand matin,
Ils se sont mariés
Sous les grands peupliers.

Marion.
Lucie (OpenDocument Text de 13.8 ko)

Mon ancêtre Zilean

Un jour ! Mon ancêtre Zilean !
Fit une machine révolutionnaire :
Il pouvait, soi-disant changer le temps
Et à sa guise se ressusciter.
Zilean massacra le patron, d’un’ taverne
Qui n’est pas loin du rivage
Et, en rentrant à la maison
Il décima deux trois villages humains.

Je suis, Zilean de la Lonia
Si j’tue personne, et ben j’pète un câble
Et je n’aime pas les êtres humains.

Amis, vous n’êtes pas bienvenus
Retournez donc à vos maisons de pierre.
J’me d’mande pourquoi vous prendre pour Dieu
Vous et vot’ piteuse espérance de vie.
Les hommes sont à l’équivalent, d’un petit coq
Perdu dans la grand’ basse-cour
Et moi, je suis le gras renard
Et je viendrai, bientôt tous vous bouffer !

Je suis, Zilean de la Lonia
Si j’tue personne, et ben j’pète un câble
Et je n’aime pas les êtres humains.

Max-Albert.

Mon ancêtre Zilean (OpenDocument Text de 13.7 ko)
Max-Albert (MP3 de 1.5 Mo)
La vie n’est pas comme un film.

La vie n’est pas un film, il n’y aura pas toujours des fins heureuses, la personne qu’on veut le plus au monde ne frappera pas à votre porte et ne vous dira pas qu’elle est désolée et que c’est vous, c’est vous qu’elle a choisi, ça ne marche pas comme ça, encore moins rencontrer la bonne personne au coin d’une ruelle, en faisant tomber les courses et hop ! elle les ramasse, c’est le coup de foudre.
On aimerait tellement que ça fonctionne comme ça mais désolé de vous décevoir, il faut que vous ayez du courage, on n’a besoin que d’une minute de grande folie, pour avoir une vie semblable à celle des films, comme se couper les cheveux, prendre son sac et s’en aller pour ne plus revenir, appeler cette personne qui a marché toute la journée dans votre esprit. Plus facile à dire qu’à faire, vous allez me dire, mais c’est votre vie, et vous êtes l’unique acteur, soit vous improvisez soit vous allez suivre le script qu’on vous a écrit.

Océane.
La vie n'est pas un film (OpenDocument Text de 13.2 ko)
Je me souviens du jour où je t’ai rencontré Tu sais que je t’aime, et je ne veux plus pleurer.

Ne joue pas avec moi et fais-moi plutôt rêver.
Tu ne sais pas ce que ça fait d’être ignoré.

Je ne suis pas un jouet, juste un cœur à aimer.

Sais-tu que moi je change lorsque tu es ici ?
Je suis comme ça, et j’adore la vie.

Serait-ce de l’amour que je ressens pour toi ?
Dis-moi que ton cœur bat aussi fort que pour moi.

Je ne suis pas un jouet, juste un cœur à aimer.

Un grand bonheur qui prend sa place dans mon cœur
Dès que je l’aperçois mon regard est accrocheur.

Je veux l’approcher, sentir son cœur qui bat
Et ça m’a fait quelque chose comme une zumba.

Je ne suis pas un jouet, juste un cœur à aimer.

Salomé.
Juste un coeur à aimer (OpenDocument Text de 12.1 ko)
Rêve.

Voici le début d’une histoire sans fin
Des garçons se baladent aux allures de félin
Les hommes regardent dans la prairie déserte
Ils se combattent tous pour moi dans l’herbe verte.

Allô Maman
Je rêve
Réveille-moi !

Mais quel sera mon choix entr’ ces hommes ? Je l’ignore.
Est-ce un rêve ou est-ce réel ? Je ne sais plus.
Mais je sais que ces voix sont douces et sonores
un peu comme dans ce beau livre que j’ai lu.

Allô Maman
Je rêve
Réveille-moi !

En lisant ce livre j’ai un’ idée de génie
Et hésitant encor’ je leur donne un défi
Pour que je leur explique ce choix si dur à faire...
Et tout à coup devant moi un’ lign’ de ch’min de fer...

Allô Maman
Je rêve
Réveille-moi !

Ces trois beaux et gentils hommes ont beaucoup de charme
Mon choix est Georg’ le beau blond et je suis sa femme
Car il me dit tell’ment de magnifiques choses
Je le prend par la main et il m’offre une rose.

Allô Maman
Je rêve
Réveille-moi !

Merci Maman.

Valentine.
Rêve (OpenDocument Text de 13.8 ko)
Document joint
un document presentation_doina (OpenDocument Text de 21.1 ko)