Visite des DP3 à MON ATELIER MECANIQUE et ATELIER SELLERIE CREATION publié le 17/03/2015

Visite des DP3 Mon Atelier mécanique et Atelier Sellerie Création

Nous avons eu l’occasion de découvrir deux ateliers différents mais complémentaires, logés sous le même toit au 14 rue J.-F. Cail zone Mendes France
Au rez de chaussé se trouve l’atelier mécanique, ici c’est le patron qui nous accueille M. Ayraud il nous présente deux grosses cylindrées que l’on répare en ce moment. Il nous présente Laurie Poirier qui est en stage, elle était au collège l’an dernier et maintenant elle est en Bac Pro "maintenance mécanique moto". On vient avec sa moto ici dans cet atelier pour faire des modifications ou pour des réparations. Cet atelier a été ouvert en mai 2013.

M.Ayraud a réussi 3 CAP, de tourneur fraiseur, de chaudronnier et de cycl-motocycle, toutes ses compétences lui permettent de donner toute satisfaction à ses clients. Il nous a demandé de nous rapprocher d’une « 1500 Goldwin » qui était arrivée là pour un problème sur le pot d ’échappement. Nous avons été impressionnés du prix d ’une telle moto, autour de 25 000 euros. Les propriétaire de ce genre de moto aiment bien les entretenir comme il faut.
Nous avons remercié M. Ayraud et nous sommes montés à l’étage.

A l’étage nous attendait Sarah Barreau, elle nous montre un fauteuil qu’elle est en train de rénover, c’est un « Voltaire », un fauteuil bien confortable.
Tout a démarré d’une passion pour les chevaux, elle se dirige vers la sellerie (puisqu’à l’origine ce métier s’occupait de créer et réparer des selles pour les chevaux).
Sarah Barreau arrête en 3ème pour faire un BEPA (Brevet d’Études Professionnelles Agricoles), elle veut devenir éleveur équin. Elle se détourne de cette formation pour entrer chez les compagnons du devoir. Avec cette formation en sellerie elle parcourt la France en changeant de ville et de patrons tous les ans. Cette formation permet de découvrir toutes les facettes du métier. Elle nous explique toutes les étapes de cette formation pendant laquelle on est rémunéré.
Actuellement elle a créé son entreprise, même si cela est au départ un métier d’homme elle ne trouve pas ce métier si difficile pour une femme. Bien sûr il faut parfois faire des chantiers extérieurs.
Elle aime bien son métier parce que c’est varié et qu’elle a plaisir à travailler la matière et la diversité... Il lui est arrivé de réparer les sièges variés, aussi bien ceux d’une Ferrari que ceux d’une 2CV.
Nous avons remercié Sarah Barreau qui nous a fait découvrir un métier bien singulier.

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