Visite de Ségovie publié le 17/04/2012

Nous sommes arrivés à Ségovie vers 10 heures du matin. Nous sommes descendus du bus et nous avons pris notre petit déjeuner dans une gare routière. Après nous sommes allés devant l’Alcazar qui date de 1120 et qui correspond à l’ époque médiévale ; nous avons visité les salles de cette forteresse, les vues que l’on avait du château, mais nous n’avons pas pu accéder à la tour qui faisait 305 marches.

Après manger nous sommes allés devant l’impressionnant aqueduc romain qui date environ de la moitié du I è siècle au début du II ème siècle. Il est long de 1 200 mètres et a une hauteur maximale de 35,10 mètres et 28 mètres au minimum. Il compte en tout 166 arcs. L’eau qu’il transportait, sur une pente de 1 %, prenait sa source dans la rivière Fuenfría à 17 km de Ségovie pour l’acheminer dans la région d’Acebeda, 15 km plus loin. Les 20 400 blocs de granite ne sont liés que par leur propre poids, sans aucun mortier. Les pierres présentent les petites cavités latérales nécessaires au levage à la pince auto-serrante. La légende dit qu’une femme faisait tous les jours les 18 km à pieds pour aller chercher l’eau à la source et un soir à l’aube elle dit : « Je donnerai mon âme à celui qui fabriquera un système pour ramener l’eau dans la nuit à la ville. » Le diable se porta d’accord mais au lever du soleil il manqua une pierre et la fille garda son âme et le diable dû le finir, et tous les trous dans les pierres sont les traces de pas du diable.

On a vu une chaîne de montagne qui à cause de sa forme s’appelle « la femme morte » . Voilà la légende :
Jadis, entre Madrid et Ségovie, un grand et beau berger aimait une belle jeune fille.
Un jour, le berger vit un autre jeune homme tourner autour de la maison de la belle : fou de jalousie, il le tua. La jeune fille entendant les coups et les cris sortit en courant.
Devant le cadavre, elle cria de peur, mais le berger interpréta ses cris comme un aveu d’amour. Jaloux il tua aussi la jeune fille. Après cela, les deux familles voulurent se venger et partirent à la recherche du berger. Au plus fort de la lutte, un grand orage s’est levé et une voix a surgi du ciel en disant : "Misérables ! Vous êtes égoïstes, vous permettant d’être dominé par les passions ! Elle ; la jeune fille était innocente : vous tous disparaîtrez sans laisser de souvenir, mais elle aura une tombe qui durera tant que le monde sera monde."

Une guide nous a fait la visite de la ville à pieds. La plupart des façades de la ville sont gravées. Une façade (façades à pointes de diamants) possède 365 pics, un pic pour chaque jour de l’année. Nous nous sommes arrêtés sur une place appelée la place des sirènes ...
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Chloé Théberge

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